Mandelieu-la-Napoule wikipedia

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Mandelieu-la-Napoule

Mandelieu-la-Napoule
Mandelieu-la-Napoule
Vue panoramique de la commune.
Blason de Mandelieu-la-Napoule
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d’agglomération Cannes Pays de Lérins
Maire
Mandat
Sébastien Leroy (LR)
2020–2026
Code postal 06210
Code commune 06079
Démographie
Gentilé Mandolociens-Napoulencs
ou
Mandolociens-Napoulois
Population
municipale
21 998 hab. (2019 en diminution de 3,79 % par rapport à 2013)
Densité 684 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 47″ nord, 6° 56′ 17″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 486 m
Superficie 32,14 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d’attraction Cannes – Antibes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mandelieu-la-Napoule
(bureau centralisateur)
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France

City locator 14.svg
Mandelieu-la-Napoule
Liens
Site web mandelieu.fr

Mandelieu-la-Napoule1 (souvent orthographiée localement Mandelieu-La Napoule) est une commune française, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le nom de la commune est issu de la fusion entre les communes de Mandelieu et La Napoule, en 1836.

Ses habitants sont appelés les Mandolociens et Napoulois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue du port de Mandelieu-la-Napoule et de l’embouchure de la Siagne depuis le sommet du cône volcanique du San Peyre, avec le golfe de La NapouleCannes et les îles de Lérins à l’horizon.

Localisation[modifier | modifier le code]

Mandelieu-la-Napoule est située dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur en limite sud-ouest du département des Alpes-Maritimes, en bordure de la baie de Cannes, entre Théoule-sur-Mer au sud, Saint-RaphaëlFréjus et Tanneron (communes du Var) à l’ouest, Pégomas et La Roquette-sur-Siagne au nord et Cannes à l’est. La commune fait partie de la communauté d’agglomération des Pays de Lérins, de l’arrondissement de Grasse, de la huitième circonscription des Alpes-Maritimes et du canton de Mandelieu-Cannes-Ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de l’embouchure de la Siagne et du cône volcanique du San Peyre avec les massifs de l’Esterel et du Tanneron en arrière-plan.

La superficie de son territoire est de 3 137 hectares ; l’altitude varie entre 0 et 486 mètres2. La commune est entourée à l’ouest par les massifs de l’Esterel et du Tanneron. Le cône volcanique du San Peyre culmine à 131 mètres au sud de l’embouchure de la Siagne dont la plaine alluviale traverse l’est de la ville du nord au sud3.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Siagne à Mandelieu-la-Napoule.

Le territoire est traversé par :

– la Siagne, se jetant dans le golfe de La Napoule. La partie basse de ce fleuve a été aménagée pour la navigation et les rives artificialisées en 1977 pour protéger des inondations3 les constructions faites en son lit majeur ;

– le Riou de l’Argentière, se jetant dans le golfe de La Napoule, non loin du port de La Napoule. L’urbanisation déraisonnée de ces dernières décennies au sein de son lit majeur aura été responsable de nombreux dégâts matériels et d’un bilan humain lourd lors des dernières inondations des  et .

Climat[modifier | modifier le code]

Statistiques 1981-2010 et records MANDELIEU LA NAPOULE (06) – alt : 104 m 43° 31′ 24″ N, 6° 53′ 54″ E
Statistiques établies sur la période 1988-2010 – Records établis sur la période du 01-07-1988 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 4,6 4,7 6,6 8,6 12,6 15,8 18,3 18,7 15,3 12,5 8,1 5,4 11
Température moyenne (°C) 8,8 9,2 11,3 13,1 17,3 20,8 23,6 24 20,1 16,6 12,1 9,4 15,6
Température maximale moyenne (°C) 12,9 13,7 15,9 17,7 22 25,8 29 29,4 25 20,7 16,2 13,4 20,2
Record de froid (°C)
date du record
−3,9
26.01.05
−4,3
11.02.12
−3,3
01.03.05
1,6
19.04.1991
4,5
06.05.1991
7,9
01.06.06
11,8
13.07.00
12,6
29.08.1995
7,3
28.09.07
2,4
29.10.12
−2,9
22.11.1998
−3,6
20.12.09
−4,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,8
19.01.07
24,2
15.02.1990
28
31.03.15
27,1
21.04.18
32,1
29.05.06
36,7
27.06.19
37,2
07.07.19
39,2
06.08.17
34,3
03.09.09
30,4
10.10.1997
25
04.11.04
22,4
05.12.1988
39,2
2017
Précipitations (mm) 87,1 46,6 40,6 84,9 50,2 30,7 11,9 28,8 103 141,8 116 108,6 850,2
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 5,9 4,4 4,7 7,3 5,4 3,7 1,7 2,7 5,3 7,7 7,4 6,7 62,9
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 3,6 2,6 2,3 4,5 2,8 1,5 0,8 1,4 3,7 5,4 5 3,9 37,3
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 2,4 1,7 1,6 2,9 1,6 0,9 0,4 1 2,7 4 3,4 2,4 24,8
Source : « Fiche 06079002 » [archive], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l’état de la base

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Bateaux de plaisance à Mandelieu-la-Napoule.

La commune est desservie par l’autoroute A8 et se trouve à 35 minutes de l’aéroport de Nice-Côte d’Azur. L’aéroport de Cannes-Mandelieu se trouve à cheval sur les deux communes. De plus, la départementale D 6007 (ancienne nationale 7) traverse la commune, la reliant à Cannes et Saint-Raphaël.

Sa gare est desservie par les TER Provence-Alpes-Côte d’Azur de la ligne Les Arcs – Draguignan à Nice-Ville et la gare TGV la plus proche est celle de Cannes (20 minutes).

Le réseau Palm Bus dessert la cité :

– Palm Express A, effectuant un trajet entre le Centre Commercial Minelle et la Gare de Cannes, avec des passages toutes les douze minutes en semaine ;

– Ligne 17, reliant la Gare Routière à l’Hôpital de Cannes via Ranguin et Le Cannet ;

– Ligne 22, reliant Théoule-sur-Mer (depuis la mairie) et parfois le Trayas à la Gare de Cannes via le bord de mer ;

– Ligne 23, faisant la liaison entre le Parc d’Activité de la Siagne et de nombreux lieux importants de la ville ;

– Ligne 620, ligne assurant le transport entre Théoule-sur-Mer (depuis la mairie) et parfois au Trayas à la Gare Routière via le Collège Albert Camus ;

– Palm Night N20 de 20 h 30 à 2 h 20 du matin, permettant le voyage de nuit entre le centre-ville de Mandelieu et la Gare de Cannes via le Boulevard du Midi.

Des lignes de ramassage scolaire permettent aux collégiens de se rendre au Collège Albert Camus (R1 et R2) et au Collège Les Mimosas (R1), tandis que les lycéens se rendant sur Cannes (Lycées Bristol, Carnot, Jules Ferry, etc.) peuvent emprunter la R4. Il existe aussi Palm à la Demande.

Une ligne du réseau Sillages, la 18, relie Mandelieu-la-Napoule depuis l’arrêt La Canardière à Pégomas.

Des lignes du réseau départemental du Var, Varlib, desservent aussi Mandelieu.

Deux ports sur le golfe, le port de la Rague de 520 places4 et le port de Mandelieu-la-Napoule de 977 places5 ainsi qu’une marina de 1 720 places sur la Siagne, Cannes Marina6, accueillent les bateaux de plaisance.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mandelieu-la-Napoule est une commune urbaineNote 1,7. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee8,9. Elle appartient à l’unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes10 et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L’agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de ParisLyonMarseille-Aix-en-ProvenceLille (partie française)Toulouse et Bordeaux11,12.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Cannes – Antibes, dont elle est une commune du pôle principalNote 2. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants13,14.

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral15. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d’inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit16,17.

Quartier de la Napoule, en bord de mer.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.

Carte de l’occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (55,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), zones urbanisées (28,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,1 %), terres arables (3,7 %), cultures permanentes (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), eaux maritimes (0,1 %)18.

L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)19.

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Port et résidence de Cannes-Marina à Mandelieu-la-Napoule.

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 19 656, alors qu’il était de 17 235 en 1999a 1. Parmi ces logements, 55,5 % étaient des résidences principales, 39,7 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.

Ces logements étaient pour 17,0 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 82,6 % des appartementsa 2.

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants, était de 54,6 %, légèrement en hausse par rapport à 1999 (53,0 %). La part de logements HLM loués vides a augmenté, étant de 8,16 % contre 6,3 % en 1999, encore bien loin de 25 %, taux légal a atteindre.

Projets d’aménagements[modifier | modifier le code]

Un nouveau centre-ville est en projet, à la suite d’une consultation organisée courant 2007. Il prévoit 8 000 m2 de logements (100 logements dont 40 en accession et 60 en locatif) et 2 000 m2 de commerces et services en rez-de-chaussée dont 300 m2 réservés à la relocalisation du bureau de poste.

Toponymie[modifier | modifier le code]

L’étymologie de La Napoule remonte au grec néa « nouvelle » et polis « ville », soit « ville nouvelle ». Elle partage cette étymologie avec d’autres villes de la Méditerranée colonisées par les populations antiques grecques comme Naplouse en PalestineNabeul en Tunisie ou encore Naples en Italie20.

Par décret du , Mandelieu prend le nom de Mandelieu-la-Napoule21. En provençal, le nom de la commune est Mandaliéu-la-Napoulo.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le territoire de Mandelieu a livré des traces d’occupation anciennes, notamment d’époque romaine.

Ad Horrea-Saint-Cassien[modifier | modifier le code]

Un des sites antiques les plus importants de Mandelieu est celui de Saint-Cassien, à la limite de la commune de Cannes. De nombreuses découvertes se sont succédé depuis le xixe siècle sur la butte Saint-Cassien (qui fait partie de la commune de Cannes), dans le secteur de l’aérodrome et des terrains de sport (qui se trouvent sur le territoire de la commune de Mandelieu). Sous les terrains de sport, à l’ouest de l’aérodrome, les traces d’une agglomération antique ont été mises au jour. L’élément architectural le plus remarquable est un vaste entrepôt de 1 000 m2 qui semble avoir été édifié dans le courant du ier siècle ap. J.-C. Le site semble occupé jusqu’au vie siècle et a livré quantité d’objets qui montrent la vitalité du site jusqu’à cette époque au plus tôt. Au pied de la butte, a été découverte une importante nécropole d’époque romaine, avec des sépultures datant du ier au ive siècle ap. J.-C.

On peut rapprocher ces découvertes de la petite agglomération de Ad Horrea (en latin : les entrepôts) à mi-chemin entre Forum Iulii (Fréjus) et Antipolis (Antibes) sur la Table de Peutinger. La présence d’une petite ville bien reliée au réseau de communications antiques par l’intermédiaire de la Via Julia Augusta passant par Saint-Cassien explique la présence d’une communauté de moines venant des quatre coins de l’empire sur les îles de Lérins.

Notre-Dame d’Avinionet[modifier | modifier le code]

Sur une colline surplombant la plaine de la Siagne a été mise au jour une exploitation rurale occupée entre le milieu du ier siècle et le ve siècle et quelques sépultures du xie siècle près de l’ancienne chapelle Notre-Dame aujourd’hui détruite22. Le site a aussi été un centre de production de céramique, qui a notamment produit des amphores durant le ier siècle puis de la vaisselle commune durant l’Antiquité tardive23. Une des particularités du site réside dans la transformation d’une des salles en mithraeum au ive siècle24.

Le San Peyre[modifier | modifier le code]

Colline du San Peyre.

Près des vestiges du château d’Avignonnet construit en 1182 par le seigneur de Villeneuve et de la chapelle consacrée à saint Pierre (San Peyre), ont été découverts quelques traces d’une occupation de l’extrême fin de l’âge du fer et d’une exploitation rurale d’époque romaine en partie dédiée à la viticulture ou oléiculture comme le montre la présence de contrepoids de pressoirs. Il faut encore noter la découverte au xviiie siècle d’une plaque de bronze antique portant une dédicace au dieu Mars Oludios aux alentours de la colline du San Peyre. Cette inscription est d’époque romaine, mais renvoie à une divinité indigène aux consonances celtes rhabillée à la mode romaine25.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le xxe siècle[modifier | modifier le code]

L’Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Laurent Gandolphe, maire de Mandelieu de 1908 à 1939 et dont une rue porte aujourd’hui le nom, développe la culture du mimosa qui devient l’une des principales activités de la commune. Il participe à l’expansion de l’industrie du liège en promouvant le bouchon de liège et à l’essor du tourisme en obtenant en 1910 la prolongation de la ligne de tramway de Cannes jusqu’au champ de courses. Théoule-sur-Mer devient sous son mandat une commune autonome26.

L’après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Mandelieu a été le point d’origine de la première section d’autoroute concédée, donc payante, en France (tronçon Mandelieu-Fréjus, mis en service en 1960 par Escota)[réf. nécessaire]. La société Escota (filiale d’ASF) conserve une partie de son siège social dans la commune27.

En 1970, la commune de Mandelieu prend le nom de Mandelieu-la-Napoule.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Récapitulatif de résultats électoraux récents[modifier | modifier le code]

Scrutin 1er tour 2d tour
1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e %
Municipales 2014 UMP 56,67 DVD 24,90 FN 11,86 PRG 3,58 Tour unique
Européennes 201428 UMP 34,66 FN 33,07 PS 6,71 UDI 6,29 Tour unique
Régionales 201529 UMP 41,37 FN 40,18 PS 8,33 AEI 3,36 UMP 55,01 FN 44,99 Pas de 3e
Présidentielle 201730 LR 34,25 FN 29,83 EM 16,52 LFI 10,44 LREM 50,28 FN 49,72 Pas de 3e
Législatives 201731 EM 32,86 LR 29,98 FN 21,88 FI 5,25 LR 56,87 LREM 43,13 Pas de 3e
Européennes 201932 RN 31,50 LREM 21,54 LR 16,69 EELV 8,60 Tour unique

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d’habitants au dernier recensement étant compris entre 20 000 et 34 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 3533. En 2010, la commune de Mandelieu-la-Napoule a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »34, bien que certains résidents n’ont pas encore accès à l’internet haut débit.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1881 1908 Ludovic Guize
1908 1939 Laurent Gandolphe
1939 1944 François Mourer
1944 1947 Léon Rous
1947 1953 Antoine Colin
1953 1965 Émile Carbon
1965 1971 Colonel Julien Alary
1971 1995 Louise Moreau UDF Députée des Alpes-Maritimes
199535 2017 Henri Leroy RPRDL
puis UMPLR
Ancien Officier de la Gendarmerie Nationale
Conseiller général, vice-président du conseil général des Alpes-Maritimes
Conseiller départemental
Sénateur depuis 2017
2017 En cours Sébastien Leroy LR Vice-Président de l’Agglomération Cannes Lérins

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Mandelieu-la-Napoule relève du tribunal d’instance de Cannes, du tribunal de grande instance de Grasse, de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, du tribunal pour enfants de Grasse, du conseil de prud’hommes de Cannes, du tribunal de commerce de Cannes, du tribunal administratif de Nice et de la cour administrative d’appel de Marseille36.

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d’Agenda 21 en 200937.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Au , Mandelieu-la-Napoule est jumelée avec38

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans39,Note 3

En 2019, la commune comptait 21 998 habitantsNote 4, en diminution de 3,79 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9 33 29 89 78 111 256 305 433
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
334 495 423 455 423 714 835 779 984
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 695 1 260 1 517 1 723 2 376 2 343 2 342 2 378 2 962
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 981 6 124 9 535 14 283 16 493 17 870 20 850 22 004 22 168
2019
21 998
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu’en 199940 puis Insee à partir de 200641.)
Histogramme de l’évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 26,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 37 % la même année, alors qu’il est de 30,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 10 154 hommes pour 11 682 femmes, soit un taux de 53,5 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,72 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage42
Hommes Classe d’âge Femmes
1,2
90 ou +
2,4
13,8
75-89 ans
15,1
19,1
60-74 ans
21,8
19,6
45-59 ans
19,3
17,2
30-44 ans
16,8
14,4
15-29 ans
12,3
14,6
0-14 ans
12,3
Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2018 en pourcentage43
Hommes Classe d’âge Femmes
1
90 ou +
2,5
9,2
75-89 ans
12
17,4
60-74 ans
18,7
20,4
45-59 ans
19,9
18,5
30-44 ans
17,6
16,6
15-29 ans
14,7
17
0-14 ans
14,6

Enseignement[modifier | modifier le code]

Mandelieu-la-Napoule est située dans l’académie de Nice. La commune administre cinq écoles maternelles et six école élémentaires communales44 Ainsi qu’un CFA – et une école de commerce – Business School. Le département gère deux collèges45.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête du mimosa, d’une durée de dix jours, anime les rues de Mandelieu au mois de février depuis 1931. Comme de nombreuses autres villes, Mandelieu-la-Napoule se veut capitale du mimosa. Depuis son importation au xixe siècle, le mimosa n’a cessé de se répandre et d’envahir les sites naturels voisins, ce sont quatre tonnes de cette fleur qui sont utilisées chaque année pour garnir les chars qui défilent en ville lors de la fête du mimosa. Se déroulent également à Mandelieu-la-Napoule le salon du bateau d’occasion et celui des saveurs et terroirs en novembre.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

De nombreuses associations sportives sont installées dans la commune46 :

Mandelieu-la-Napoule est la ville d’arrivée de la 1re étape du Tour du Haut-Var 2019.

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 655 , ce qui plaçait Mandelieu-la-Napoule au 16 489e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropoleb 1.

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s’élevait à 12 902 personnes, parmi lesquelles on comptait 75,3 % d’actifs dont 67,6 % ayant un emploi et 7,7 % de chômeursa 3. On comptait 8 913 emplois dans la zone d’emploi, contre 6 462 en 1999. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la zone d’emploi étant de 8 852, l’indicateur de concentration d’emploiNote 5 est de 100.7 %, ce qui signifie que la zone d’emploi offre un emploi pour chaque habitant actifa 4.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , Mandelieu-la-Napoule comptait 2 958 établissements : 23 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 160 dans l’industrie, 336 dans la construction, 2 128 dans le commerce-transports-services divers et 311 étaient relatifs au secteur administratifa 5. En 2011, 363 entreprises ont été créées à Mandelieu-la-Napoulea 6, dont 216 par des autoentrepreneursa 7. L’activité économique est, en 2013, principalement axée sur le tourisme (villages vacances, hôtels, casino…). La commune est donc bien pourvue en sites et équipements de loisirs : plages de sable, golfs, gymnase, tennis, voile, bassin d’aviron, VTT, sentiers de randonnée, etc. Réputée pour sa fête du mimosa, le Trail des Balcons d’azur et le Triathlon Trigames qui passent dans la ville, Mandelieu-la-Napoule propose donc un large choix d’activités culturelles et sportives dans une cadre naturel privilégié et préservé. Mandelieu-la-Napoule est également partie prenante dans :

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Pons, 1763, rue du Cimetière au Capitou.
  • Église Notre-Dame-de-l’Assomption, rue de la Plage xive siècle à La Napoule.
  • Chapelle Notre-Dame-des-Mimosas, rue Jean-Monnet 1927
  • Église Notre-Dame-du-Liban, avenue de Fréjus.
  • Chapelle Saint-Jean, avenue de Fréjus [détruite et remplacée par l’église Notre-Dame-du-Liban] (Minelle).
  • Chapelle Saint-Jean au cimetière, route forestière des Trois-Termes.
  • Chapelle de Maure-Vieil, chemin de Maure-Vieil.
  • Ruines de la chapelle San-Peyre xiiie siècle, parc départemental de San-Peyre .

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Il est possible d’accéder au parc départemental de l’Esterel depuis la commune en remontant le vallon de la Rague.

Ci-dessous la liste des espaces verts de la commune, dont certains sont au moins partiellement artificialisés.

  • Le Mont Turney – 50 000 m2
  • Mont San Peyre – 180 000 m2
  • Massif de l’Estérel – 320 km2
  • Forêt du Grand Duc – 90 000 m2
  • Parc Robinson – 11 800 m2
  • Le Parc des Oliviers – 11 000 m2
  • Berges de Siagne – 72 000 m2
  • Parc Camille – 14 000 m2
  • Parc de la Vernède – 26 600 m2
  • Parc Emmanuelle de Marande – 13 000 m2
  • Massif du Tanneron – 2 000 000 m2

Héraldique, devise et logotype[modifier | modifier le code]

Blason de Mandelieu-la-Napoule Blason
D’or, à un sautoir de gueules, coupé de sinople, à un écureuil assis d’argent – arm. II, 5332 ; enr. 25 I.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marguerite Abrell qui donna son nom a l’arrêt de bus « SNCF Marguerite » desservi par la N20 et le A.
  • Luiz de Orleans e Bragança (1938–2022), « prince impérial du Brésil », est né le  à Mandelieu. Il est l’aîné de la branche de Vassouras, branche cadette de la Maison d’Orléans-Bragance et est, en tant que tel, l’un des deux prétendants au trône du Brésil.
  • Henry et Marie Clews, américains, qui ont acquis et restauré le château de la Napoule et sont enterrés au pied de la plus grande tour du château en face de la mer. Henry Clews peignait et sculptait beaucoup. Il inventa même de drôles de personnages que l’on peut retrouver lors de la visite du château. Aujourd´hui, le château abrite une fondation de promotion des arts. Il est géré par les descendants d’Henry Clews.
  • Louise Moreau, maire de 1971 à 1995, député de 1978 à 2001. Son nom a été donné au boulevard du Midi, une portion de la route du bord de mer.
  • Eddy Ottoz, né en 1944 à Mandelieu, athlète italien, spécialiste du 110 m haies, qui a été médaillé olympique et deux fois champion d’Europe de la distance.
  • Laurent Piranian, mandolocien, Mister France 1996, mannequin international et vice champion d’Europe de sports de combats.
  • Bernard Balastre (1937–2018), perchiste, trois fois champion de France, y est mort.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1.  Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le  en comité interministériel des ruralités.
  2.  La notion d’aire d’attraction des villes a remplacé en  celle d’aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l’Union européenne.
  3.  Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l’ensemble des communes.
  4.  Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
  5.  L’indicateur de concentration d’emploi est égal au nombre d’emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l’Insee.

Références[modifier | modifier le code]

Insee
  1.  LOG T1M – Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2.  LOG T2 – Catégories et types de logements.
  3.  EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d’activité.
  4.  EMP T5 – Emploi et activité.
  5.  CEN T1 – Établissements actifs par secteur d’activité au 31 décembre 2010.
  6.  DEN T1 – Créations d’entreprises par secteur d’activité en 2011.
  7.  DEN T2 – Créations d’entreprises individuelles par secteur d’activité en 2011.
  • Autres documents
  1.  « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages – Année 2010 » [archive], sur le site de l’Insee (consulté le ).
Autres références
  1.  Dénomination dans le Code officiel géographique[lire en ligne [archive]]
  2.  Répertoire géographique des communes, publié par l’Institut national de l’information géographique et forestière[lire en ligne [archive]]
  3. ↑ Revenir plus haut en :a et b La plaine alluviale de la Siagne sur le site de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse eaurmc.fr [archive]
  4.  « Port de la Rague » sur le site Eco-Mer, yachtguidecaptain.com [archive]
  5.  « Port de Mandelieu-la-Napoule » sur le site Eco-Mer, yachtguidecaptain.com [archive]
  6.  « Cannes Marina » sur le site Eco-Mer, yachtguidecaptain.com [archive]
  7.  « Zonage rural » [archive], sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8.  « Commune urbaine-définition » [archive], sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9.  « Comprendre la grille de densité » [archive], sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10.  « Unité urbaine 2020 de Nice » [archive], sur https://www.insee.fr/ [archive] (consulté le ).
  11.  « Base des unités urbaines 2020 » [archive], sur www.insee.fr (consulté le ).
  12.  Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines » [archive], sur le site de l’Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  13.  « Base des aires d’attraction des villes 2020. » [archive], sur le site de l’Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14.  Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville » [archive], sur le site de l’Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15.  « Les communes soumises à la loi littoral » [archive], sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16.  « La loi littoral » [archive], sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17.  « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral » [archive], sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18.  « CORINE Land Cover (CLC) – Répartition des superficies en 15 postes d’occupation des sols (métropole). » [archive], sur le site des données et études statistiques [archive] du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19.  IGN« Évolution de l’occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. » [archive], sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l’évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l’écran.
  20.  Louis-Jean CalvetLa Méditerranée. Mer de nos langues, CNRS Editions, Paris, 2016, p. 215
  21.  Des villages de Cassini aux communes d’aujourd’hui« Notice communale : Mandelieu-la-Napoule » [archive], sur ehess.fr [archive]École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  22.  Michel FixotLe Site de Notre-Dame d’Avinionet à Mandelieu, éditions du CNRS, Centre de recherches archéologiques, Valbonne, 1990, 249 p.
  23.  L. Rivet, « Un atelier de potiers du ier siècle de notre ère à Mandelieu (A.-M.) », dans Documents d’Archéologie méridionale, 9, 1986, p. 119-134.
  24.  L. Aygueparse, Y. Codou, M. Fixot, « Un mithraeum à Mandelieu », dans Les dossiers Histoire et Archéologieno 57, 1981, p. 85-86.
  25.  André Chastagnol, Inscriptions latines de Narbonnaise Antibes. Antibes, Riez, Digne, CNRS Éditions, 1992
  26.  « Laurent Gandolphe », MLN Hebdo no 46, 13 mars 2013, mandelieu.fr [archive]
  27.  « SOCIETE DES AUTOROUTES ESTEREL COTE D’AZUR PROVENCE ALPES. ESCOTA » [archive], sur le registre de commerce via le site societe.com (consulté le ).
  28.  « Résultats des élections européennes 2014 » [archive]
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  30.  « Résultats de l’élection présidentielle 2017 » [archive]
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  33.  art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales [archive].
  34.  Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l’association. [archive] Consulté le 19/12/2009.
  35.  Site de la préfecture des Alpes-Maritimes [archive], consulté le 20 juin 2008
  36.  « Liste des juridictions compétentes pour une commune » [archive], sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le ).
  37.  FICHE | Agenda 21 de Territoires – Mandelieu-la-Napoule [archive], consultée le 7 novembre 2017
  38.  « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures » [archive], sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  39.  L’organisation du recensement [archive], sur insee.fr.
  40.  Des villages de Cassini aux communes d’aujourd’hui [archive] sur le site de l’École des hautes études en sciences sociales.
  41.  Fiches Insee – Populations légales de la commune pour les années 2006 [archive]2007 [archive]2008 [archive]2009 [archive]2010 [archive]2011 [archive]2012 [archive]2013 [archive]2014 [archive]2015 [archive]2016 [archive]2017 [archive]2018 [archive] et 2019 [archive].
  42.  Insee« Évolution et structure de la population en 2018 – Commune de Mandelieu-la-Napoule (06079) » [archive] (consulté le ).
  43.  Insee« Évolution et structure de la population en 2018 – Département des Alpes-Maritimes (06) » [archive] (consulté le ).
  44.  « Alpes-Maritimes (06), Mandelieu-la-Napoule, écoles » [archive], sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
  45.  « Alpes-Maritimes (06), Mandelieu-la-Napoule, collèges » [archive], sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
  46.  Liste de toutes les associations sportives de la commune [archive]
  47.  Voir le site CASPWiki – Genèse d’une dénomination [archive]
  48.  Association pour la sauvegarde du patrimoine historique industriel et minier (A.P.P.H.I.M.), « La Napoule » [archive], sur mineurdefond.fr (consulté le ).
  49.  [vidéo] Les mineurs en vacances à La Napoule [archive] sur YouTube (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Emmanuelle de Marande, Mandelieu, Jadis, naguère et aujourd’hui, Serre éditeur (collection Les régionales), Nice, 1988
  • Mandelieu-La Napoule, d’hier à aujourd’hui, 2012

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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