L’Ukraine continue de réclamer des armes aux membres de l’alliance Atlantique. «La dernière fois, j’avais dit trois mots : des armes, des armes, des armes. Cette fois, j’ai trois autres mots : plus vite, plus vite et plus vite», a lancé le ministre ukrainien des Affaires étrangères, peu avant une rencontre avec le secrétaire général de l’Otan, la semaine dernière, à Bucarest. Les alliés continuent de répondre aux demandes de Kiev, convaincus que la sécurité de l’Europe dépend de l’issue de ce conflit.
Mais, l’inquiétude grandit quant à la possibilité de soutenir ces efforts à long terme alors que les stocks commencent à s’épuiser, et que même l’industrie américaine de la défense, en dépit de sa puissance, rencontre des problèmes pour accélérer sa production. Cela sans compter les interrogations qui commencent à poindre sur l’ampleur de ce soutien, dans un Occident confronté à la crise et à l’inflation.
Décryptage avec :
– Léo Peria-Peigné, chercheur au Centre des études de sécurité à l’IFRI, (Institut français des Relations internationales) spécialiste de l’armement, auteur de la note « Stocks, l’assurance vie en haute-intensité ».
Le 19 novembre dernier, dans un entretien au JDD, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, assurait que la France se trouve « dans les cinq premiers pays » en matière d'aide militaire. Pourtant, une note de l'Ifri, l'Institut français des relations internationales, publiée ce mardi matin, nuance cette position. Si la France, souligne Léo Péria-Peigné, auteur de la note, a bien donné des systèmes de pointe comme les canons Caesar ou les systèmes de […]
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